Merwan rouvrit les yeux et releva la tête. Son public d'alien était toujours là. L'un d'eux avait des yeux globuleux. Merwan aurait aimé être spectateur lui aussi. Cela aurait pu être un film : « Kidnappé par les aliens » Hélas, il était acteur et ne pouvait quitter la salle sous prétexte que ce qui se déroulait à l'écran ne lui plaisait pas.
Comme il s'engourdissait à être toujours dans la même position, que le sol était dur, il se releva et fit quelques pas, une main sur ses parties génitales.
Ses mouvements provoquèrent de drôles de bruits dans la foule des créatures. Merwan eut un rire nerveux. Il n'en pouvait plus. Il avait assez de cogiter, de n'avoir rien d'autre à faire que crier pour réclamer sa liberté.
Une série de tintements retentit suivi de grésillements et grincements et peu à peu les allées se vidèrent jusqu'à être désertes.
Ce retour à la solitude ne soulagea que partiellement Merwan. Il était toujours emprisonné, nu, assoiffé et affamé, incertain du sort qui l'attendait.
Une ombre au-dessus lui, le fit sursauter. Il leva les yeux et vit une plateforme semblable à un disque vinyl sur laquelle se tenait une créature qui descendait dans sa cage.
L'alien avait une tête blanche triangulaire dépourvue d'yeux, de nez et de bouche, un long cou mince et de larges épaules en-dessous desquelles pendaient une impressionnante série de tentacules de longueurs et formes variées. D'eux d'entre eux s'étirèrent vers Merwan qui eut un mouvement de recul.
La créature ne renonça pas pour autant et Merwan, malgré ses manœuvres d'évitement finit par sentir les appendices lisses et chauds s'enrouler autour de sa taille.
— Lâchez-moi ! s'exclama Merwan, en essayant à deux mains de les retirer.
Tout ce qu'il gagna fut que deux autres tentacules immobilisent ses bras. Deux autres encore s'enroulèrent autour de ses jambes quand il se mit à les agiter furieusement, continuant à se débattre pour s'échapper.
L'alien le garda ainsi ligoté tandis que la plateforme s'élevait à nouveau.
— Lâchez-moi ! répéta Merwan plus fort. Cette fois, la créature plaqua un de ses appendices sur sa bouche.
Ils ne tardèrent pas à redescendre, se posant devant un énorme cube blanc. Sans effort, l'alien continua à garder Merwan suspendu entre ses tentacules et tapa de l'un de ses appendices libres sur des touches à peine visibles sur le mur. Une ouverture apparut et se referma automatiquement après leur passage.
Comme il s'engourdissait à être toujours dans la même position, que le sol était dur, il se releva et fit quelques pas, une main sur ses parties génitales.
Ses mouvements provoquèrent de drôles de bruits dans la foule des créatures. Merwan eut un rire nerveux. Il n'en pouvait plus. Il avait assez de cogiter, de n'avoir rien d'autre à faire que crier pour réclamer sa liberté.
Une série de tintements retentit suivi de grésillements et grincements et peu à peu les allées se vidèrent jusqu'à être désertes.
Ce retour à la solitude ne soulagea que partiellement Merwan. Il était toujours emprisonné, nu, assoiffé et affamé, incertain du sort qui l'attendait.
Une ombre au-dessus lui, le fit sursauter. Il leva les yeux et vit une plateforme semblable à un disque vinyl sur laquelle se tenait une créature qui descendait dans sa cage.
L'alien avait une tête blanche triangulaire dépourvue d'yeux, de nez et de bouche, un long cou mince et de larges épaules en-dessous desquelles pendaient une impressionnante série de tentacules de longueurs et formes variées. D'eux d'entre eux s'étirèrent vers Merwan qui eut un mouvement de recul.
La créature ne renonça pas pour autant et Merwan, malgré ses manœuvres d'évitement finit par sentir les appendices lisses et chauds s'enrouler autour de sa taille.
— Lâchez-moi ! s'exclama Merwan, en essayant à deux mains de les retirer.
Tout ce qu'il gagna fut que deux autres tentacules immobilisent ses bras. Deux autres encore s'enroulèrent autour de ses jambes quand il se mit à les agiter furieusement, continuant à se débattre pour s'échapper.
L'alien le garda ainsi ligoté tandis que la plateforme s'élevait à nouveau.
— Lâchez-moi ! répéta Merwan plus fort. Cette fois, la créature plaqua un de ses appendices sur sa bouche.
Ils ne tardèrent pas à redescendre, se posant devant un énorme cube blanc. Sans effort, l'alien continua à garder Merwan suspendu entre ses tentacules et tapa de l'un de ses appendices libres sur des touches à peine visibles sur le mur. Une ouverture apparut et se referma automatiquement après leur passage.
1 commentaire:
Ho ho les choses bougent pour Merwan mais que peux bien lui vouloir cet alien ...
Merci pour cette suite, j'accroche de plus en plus à l'histoire (oui je me répète dans mes commentaires mais que dire de plus c'est tout simplement génial ce que tu fais) ^^
Vivement la suite XD
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