— Que puis-je pour toi, Coon ?
— Rien d’autre que ce que ta désignation veut et dont tu as été privé ces derniers temps.
Arpenter les sables.
Cela lui avait manqué, mais plus tant que ça depuis que Jo partageait son nid.
— Et pour ramener de la nourriture aux extraplanétaires ?
— Nous pouvons nous passer de toi durant quelques jours. Il est de toute façon temps que nous leur apprenions à le faire.
Aarp aurait bien aimé former équipe avec Jo pour lui enseigner tout ce qu’il y avait à savoir sur les choses comestibles. Cependant, ce n’était pas ce que le chef du clan attendait de lui. Ce qu’il voulait, c’est qu’Aarp se rende dans le désert au cas où la tempête aurait révélé quelque chose d’utile dans les sables ou conduit d’autres vaisseaux à s’échouer sur leur planète, vaisseaux à la cargaison éventuellement intéressante.
Aarp faisait des trouvailles de toutes sortes dans le désert, les extraplanétaires comptant assurément parmi les plus extraordinaires.
Même si cela ne plaisait pas à Aarp de laisser Jo derrière lui, il allait y être obligé. L’emmener avec lui n’était hélas pas une option. Les extraplanétaires n’avaient pas la même résistance que les Pizziens à la chaleur. Leur peau était aussi douce que fragile.
— Je prépare mon sac et j’y vais.
Il lui fallait sa lance, une gourde et quelques provisions.
— Tu peux prendre le temps de dire au revoir à Jo. Nous nous occuperons bien d’elle en ton absence.
Excepté que personne d’autre qu’Aarp ne pouvait garder Jo pendant qu’il se baignait quand les autres dormaient. Mais ça, il ne pouvait le dire à Coon, alors, il le remercia et rejoignit Jo en haut.
— Un problème ?
C’était compliqué à expliquer en termes simples. Aarp s’y efforça malgré tout.
Quitter le village pour explorer le désert était dans son sang, le seul point qui le gênait, c’était de ne pouvoir emmener Jo dans ses bagages.
— Rien d’autre que ce que ta désignation veut et dont tu as été privé ces derniers temps.
Arpenter les sables.
Cela lui avait manqué, mais plus tant que ça depuis que Jo partageait son nid.
— Et pour ramener de la nourriture aux extraplanétaires ?
— Nous pouvons nous passer de toi durant quelques jours. Il est de toute façon temps que nous leur apprenions à le faire.
Aarp aurait bien aimé former équipe avec Jo pour lui enseigner tout ce qu’il y avait à savoir sur les choses comestibles. Cependant, ce n’était pas ce que le chef du clan attendait de lui. Ce qu’il voulait, c’est qu’Aarp se rende dans le désert au cas où la tempête aurait révélé quelque chose d’utile dans les sables ou conduit d’autres vaisseaux à s’échouer sur leur planète, vaisseaux à la cargaison éventuellement intéressante.
Aarp faisait des trouvailles de toutes sortes dans le désert, les extraplanétaires comptant assurément parmi les plus extraordinaires.
Même si cela ne plaisait pas à Aarp de laisser Jo derrière lui, il allait y être obligé. L’emmener avec lui n’était hélas pas une option. Les extraplanétaires n’avaient pas la même résistance que les Pizziens à la chaleur. Leur peau était aussi douce que fragile.
— Je prépare mon sac et j’y vais.
Il lui fallait sa lance, une gourde et quelques provisions.
— Tu peux prendre le temps de dire au revoir à Jo. Nous nous occuperons bien d’elle en ton absence.
Excepté que personne d’autre qu’Aarp ne pouvait garder Jo pendant qu’il se baignait quand les autres dormaient. Mais ça, il ne pouvait le dire à Coon, alors, il le remercia et rejoignit Jo en haut.
— Un problème ?
C’était compliqué à expliquer en termes simples. Aarp s’y efforça malgré tout.
Quitter le village pour explorer le désert était dans son sang, le seul point qui le gênait, c’était de ne pouvoir emmener Jo dans ses bagages.
2 commentaires:
Alors vu l'avancé de l'histoire il ne va pas encore trouver quelque chose qui permettra au terrien de rentrer chez eux s'il le souhaite. Avec les sentiments certain(e)s voudraient rester.
Donc trois possibilités :
1) Il arrive quelque chose à Aarp dans le désert.
2) Il arrive quelque chose à Jo.
3) Les deux.
Merci pour cette suite. ^^
Surprendre est un art difficile. :op
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