Joël était perturbé. Le vent violent lui avait rappelé le crash du vaisseau des créatures qui l’avait kidnappé, la paralysie et la peur de mourir enfermé dans un ces tubes de verre. Et puis Aarp l’avait emmené au 7ème ciel et maintenant, c’était le retour au 36ème dessous. Son alien favori partait.
Pas pour toujours, à priori, mais tout de même. Joël aurait bien aimé l’accompagner, mais apparemment, c’était impossible, le désert était trop dangereux pour lui.
Du coup, Joël regrettait encore davantage qu’Aarp ne l’ait pas pénétré avec autre chose que sa langue. Ce qui n’était jamais que partie remise, et ce qu’ils avaient fait avait été plus que jouissif. Aucun de ses précédents petits amis ne l’avait gratifié de pareille attention.
— Combien de temps seras-tu parti ? parvint à demander Joël.
— Je ne sais pas. Je vais où mes pas me portent, répondit Aarp.
Joël trouva l’image poétique, tout en étant frustré de ne pas avoir un nombre de jours précis, non pas qu’il sache exactement au juste à combien de temps cela correspondait vraiment, le ciel étant en permanence bleu et lumineux… Sauf en cas de tempête.
— Reviens-moi vite, murmura-t-il.
Aarp inclina la tête sur le côté en signe d’acquiescement.
Joël le regarda se préparer à partir et quand Aarp fut prêt, il l’embrassa.
C’était dur que l’alien s’en aille alors qu’ils venaient de se rapprocher l’un de l’autre et que Joël n’avait enfin plus à porter seul le poids de son secret.
Joël prolongea le baiser tant qu’il put, à perdre haleine, la grande main rugueuse de Aarp reposant sur sa nuque et puis, l’alien s’en fut.
Joël s’efforça de se consoler en se promettant qu’il allait profiter de l’absence de Aarp pour s’améliorer dans son apprentissage de la langue des Turquoises.
Il voulait que parler lui devienne facile et que son vocabulaire soit plus étendu afin qu’il lui soit possible d’avoir de vraies conversations avec Aarp. Ainsi, ils pourraient apprendre à mieux se connaître, et pas que physiquement. Même si là aussi, ils avaient encore plein de choses à découvrir l’un sur l’autre...
Décidé à ne pas se morfondre, Joël quitta la cabane.
Les filles, également descendues, ne parlaient bien sûr que de la tempête. Coon avait hélas dit à Miranda qu’il y en avait souvent...
Pas pour toujours, à priori, mais tout de même. Joël aurait bien aimé l’accompagner, mais apparemment, c’était impossible, le désert était trop dangereux pour lui.
Du coup, Joël regrettait encore davantage qu’Aarp ne l’ait pas pénétré avec autre chose que sa langue. Ce qui n’était jamais que partie remise, et ce qu’ils avaient fait avait été plus que jouissif. Aucun de ses précédents petits amis ne l’avait gratifié de pareille attention.
— Combien de temps seras-tu parti ? parvint à demander Joël.
— Je ne sais pas. Je vais où mes pas me portent, répondit Aarp.
Joël trouva l’image poétique, tout en étant frustré de ne pas avoir un nombre de jours précis, non pas qu’il sache exactement au juste à combien de temps cela correspondait vraiment, le ciel étant en permanence bleu et lumineux… Sauf en cas de tempête.
— Reviens-moi vite, murmura-t-il.
Aarp inclina la tête sur le côté en signe d’acquiescement.
Joël le regarda se préparer à partir et quand Aarp fut prêt, il l’embrassa.
C’était dur que l’alien s’en aille alors qu’ils venaient de se rapprocher l’un de l’autre et que Joël n’avait enfin plus à porter seul le poids de son secret.
Joël prolongea le baiser tant qu’il put, à perdre haleine, la grande main rugueuse de Aarp reposant sur sa nuque et puis, l’alien s’en fut.
Joël s’efforça de se consoler en se promettant qu’il allait profiter de l’absence de Aarp pour s’améliorer dans son apprentissage de la langue des Turquoises.
Il voulait que parler lui devienne facile et que son vocabulaire soit plus étendu afin qu’il lui soit possible d’avoir de vraies conversations avec Aarp. Ainsi, ils pourraient apprendre à mieux se connaître, et pas que physiquement. Même si là aussi, ils avaient encore plein de choses à découvrir l’un sur l’autre...
Décidé à ne pas se morfondre, Joël quitta la cabane.
Les filles, également descendues, ne parlaient bien sûr que de la tempête. Coon avait hélas dit à Miranda qu’il y en avait souvent...
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