Entre l’absence d’excitation telle qu’il la connaissait et la présence du second pénis à l’arrière, Joël eut un moment de flou.
Il leva les yeux sur Aarp et vit qu’il léchait sa paume maculée du sperme de Joël. Il cessa alors de se poser des questions. Il enfourna le sexe avant de l’alien et attrapa celui qu’il avait initialement pris pour une queue.
Après tout ses jours de frustration, c’était profondément satisfaisant de pouvoir enfin toucher Aarp, de le goûter. La saveur de l’alien était aussi délicieuse que son parfum.
Bien qu’Aarp n’émette pas un son, sa respiration s’accéléra, et dans sa bouche et sa main, ses pénis palpitèrent, signe qu’il était loin d’être indifférent à ce que faisait Joël.
Il suça avec davantage de vigueur et sous sa langue, le membre de l’alien grossit et durcit, ce qui lui fit oublier de continuer à s’occuper celui qu’il tenait dans sa main.
Il avait fermé les yeux pour mieux savourer, mais les rouvrit brusquement en sentant quelque chose s’enrouler autour de son poignet. La queue de Aarp. Elle semblait s’être encore allongée et était comme animée d’une vie propre.
Dans sa surprise, Joël mit fin à la fellation. Les Turquoises n’était définitivement pas comme les humains.
— Jo…
Cette unique syllabe gutturale lâchée par Aarp suffit pour donner à Joël envie de reprendre là où il s’était arrêté. Ou pour être exact d’inverser. Il lécha le pénis arrière, le tentaculaire qui s’était accroché à lui, et caressa celui avant, redoublant d’efforts. Le terme était sans doute inadapté, car cela ne lui demandait aucune peine. Il y prenait trop de plaisir pour cela.
Alors qu’il aspirait à nouveau le pénis avant, un liquide épais et sucré envahit soudain sa bouche. Joël avala encore et encore. Il avait toujours trouvé le sperme amer, mais là, c’était fruité. Du coup, il absorba aussi celui qui coulait le long de son bras.
Aarp l’aida ensuite à se relever et captura ses lèvres pour un nouveau baiser. S’il continuait comme ça, Joël allait avoir une nouvelle érection. Il n’avait aucune idée du temps de récupération de l’alien, mais en tout cas, Aarp n’avait pas menti, il éjaculait sans bruit.
L’alien s’écarta et dit quelque chose que Joël ne parvint pas à saisir, les mots ayant désertés son cerveau.
Il n’avait plus l’énergie pour discuter et Aarp dut le comprendre, car il le fit s’allonger sur le lit de feuilles, s’installant juste à côté de lui.
Il leva les yeux sur Aarp et vit qu’il léchait sa paume maculée du sperme de Joël. Il cessa alors de se poser des questions. Il enfourna le sexe avant de l’alien et attrapa celui qu’il avait initialement pris pour une queue.
Après tout ses jours de frustration, c’était profondément satisfaisant de pouvoir enfin toucher Aarp, de le goûter. La saveur de l’alien était aussi délicieuse que son parfum.
Bien qu’Aarp n’émette pas un son, sa respiration s’accéléra, et dans sa bouche et sa main, ses pénis palpitèrent, signe qu’il était loin d’être indifférent à ce que faisait Joël.
Il suça avec davantage de vigueur et sous sa langue, le membre de l’alien grossit et durcit, ce qui lui fit oublier de continuer à s’occuper celui qu’il tenait dans sa main.
Il avait fermé les yeux pour mieux savourer, mais les rouvrit brusquement en sentant quelque chose s’enrouler autour de son poignet. La queue de Aarp. Elle semblait s’être encore allongée et était comme animée d’une vie propre.
Dans sa surprise, Joël mit fin à la fellation. Les Turquoises n’était définitivement pas comme les humains.
— Jo…
Cette unique syllabe gutturale lâchée par Aarp suffit pour donner à Joël envie de reprendre là où il s’était arrêté. Ou pour être exact d’inverser. Il lécha le pénis arrière, le tentaculaire qui s’était accroché à lui, et caressa celui avant, redoublant d’efforts. Le terme était sans doute inadapté, car cela ne lui demandait aucune peine. Il y prenait trop de plaisir pour cela.
Alors qu’il aspirait à nouveau le pénis avant, un liquide épais et sucré envahit soudain sa bouche. Joël avala encore et encore. Il avait toujours trouvé le sperme amer, mais là, c’était fruité. Du coup, il absorba aussi celui qui coulait le long de son bras.
Aarp l’aida ensuite à se relever et captura ses lèvres pour un nouveau baiser. S’il continuait comme ça, Joël allait avoir une nouvelle érection. Il n’avait aucune idée du temps de récupération de l’alien, mais en tout cas, Aarp n’avait pas menti, il éjaculait sans bruit.
L’alien s’écarta et dit quelque chose que Joël ne parvint pas à saisir, les mots ayant désertés son cerveau.
Il n’avait plus l’énergie pour discuter et Aarp dut le comprendre, car il le fit s’allonger sur le lit de feuilles, s’installant juste à côté de lui.
3 commentaires:
Ah les filles n'avaient pas parlé de cette particularité.
Merci pour cet épisode.
Il faut dire qu'elles n'étaient pas rentrées dans les détails...
Mauvaise surprise à tes yeux ?
Pour l'instant non. ^-^
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