— Elle fait beaucoup de bruit, commenta Aarp.
— Oui, reconnut Joël, alors que Lilou se mettait à encourager Chaan à y aller plus franchement, ce que son alien ne devait pas comprendre vu qu’elle n’utilisait pas sa langue...
Existait-il des bouchons d’oreilles sur cette planète ?
— Est-ce que vous êtes tous bruyants pendant le *** ?
Joël déduisit que le dernier mot qu’il ne connaissait pas devait être « sexe. »
— Non, pas tous, répondit Joël, songeant qu’il aurait intérêt à faire attention s’ils en venaient là avec Aarp.
Il n’avait jamais été très vocal, mais il n’était pas exactement silencieux non plus.
— Et toi ? laissa échapper Joël. Et vous ? reprit-il avec gêne.
C’était moins personnel comme ça. Toujours est-il que, vu le sourire qui flottait sur les lèvres de Aarp, il était parfaitement conscient que ce n’était pas une correction linguistique de la part de Joël.
— Pas de bruit pour nous.
— Non… ?
— Tu veux que je te montre ? demanda Aarp. Je peux de te voir sans ? ajouta-t-il en tirant tout doux sur le bas de la robe de Joël.
Joël ne demandait pas mieux, excepté qu’il éprouvait tout de même un fond d’appréhension. Et si, en l’examinant de plus près Aarp changeait d’avis, en venait à lui reprocher son travestissement ?
Aucun de ses petits amis n’avait pas compris sur Terre son goût pour les tenues féminines. Mais tout cela n’avait guère de sens pour les Turquoises qui ne portaient même pas de vêtements et n’avait sans doute même pas de mot pour les désigner.
Joël dénoua ses cheveux et ôta sa robe d’un seul mouvement, mais fit glisser lentement sa culotte rouge, libérant son pénis engorgé. Sous le regard doré intense de Aarp, il se sentait à nouveau sexy.
L’alien réduisit à néant la distance entre eux, l’embrassa, enserra d’une main son érection, posant l’autre sur le haut de ses fesses.
Entre la langue qui s’enroulait autour de la sienne, les caresses sur son sexe, le doigt rugueux qui explorait sa raie, Joël qui avait tout juste eu le temps d’agripper les épaules de Aarp, ne tint pas longtemps. Il jouit, son grognement de plaisir étouffé par la bouche de l’alien sur la sienne.
Ce n’était pas aujourd’hui qu’il éblouirait Aarp par son endurance sexuelle, mais il pouvait peut-être l’impressionner autrement. Il s’agenouilla.
— Oui, reconnut Joël, alors que Lilou se mettait à encourager Chaan à y aller plus franchement, ce que son alien ne devait pas comprendre vu qu’elle n’utilisait pas sa langue...
Existait-il des bouchons d’oreilles sur cette planète ?
— Est-ce que vous êtes tous bruyants pendant le *** ?
Joël déduisit que le dernier mot qu’il ne connaissait pas devait être « sexe. »
— Non, pas tous, répondit Joël, songeant qu’il aurait intérêt à faire attention s’ils en venaient là avec Aarp.
Il n’avait jamais été très vocal, mais il n’était pas exactement silencieux non plus.
— Et toi ? laissa échapper Joël. Et vous ? reprit-il avec gêne.
C’était moins personnel comme ça. Toujours est-il que, vu le sourire qui flottait sur les lèvres de Aarp, il était parfaitement conscient que ce n’était pas une correction linguistique de la part de Joël.
— Pas de bruit pour nous.
— Non… ?
— Tu veux que je te montre ? demanda Aarp. Je peux de te voir sans ? ajouta-t-il en tirant tout doux sur le bas de la robe de Joël.
Joël ne demandait pas mieux, excepté qu’il éprouvait tout de même un fond d’appréhension. Et si, en l’examinant de plus près Aarp changeait d’avis, en venait à lui reprocher son travestissement ?
Aucun de ses petits amis n’avait pas compris sur Terre son goût pour les tenues féminines. Mais tout cela n’avait guère de sens pour les Turquoises qui ne portaient même pas de vêtements et n’avait sans doute même pas de mot pour les désigner.
Joël dénoua ses cheveux et ôta sa robe d’un seul mouvement, mais fit glisser lentement sa culotte rouge, libérant son pénis engorgé. Sous le regard doré intense de Aarp, il se sentait à nouveau sexy.
L’alien réduisit à néant la distance entre eux, l’embrassa, enserra d’une main son érection, posant l’autre sur le haut de ses fesses.
Entre la langue qui s’enroulait autour de la sienne, les caresses sur son sexe, le doigt rugueux qui explorait sa raie, Joël qui avait tout juste eu le temps d’agripper les épaules de Aarp, ne tint pas longtemps. Il jouit, son grognement de plaisir étouffé par la bouche de l’alien sur la sienne.
Ce n’était pas aujourd’hui qu’il éblouirait Aarp par son endurance sexuelle, mais il pouvait peut-être l’impressionner autrement. Il s’agenouilla.
2 commentaires:
Comme je l'ai dis maintenant les bruits d'à côté ne sont plus gênants. ^-^
Merci pour cette suite.
Et tu avais raison. :)
Enregistrer un commentaire