Après ce réveil fanfare, la journée se déroula de façon typique depuis qu’ils avaient échoué chez les Turquoises : des leçons de langue entrecoupées de repas fleuris avec un passage au point d’eau, et des bavardages avec les filles.
Joël supposait qu’une fois que leur maîtrise de la langue des Turquoises serait meilleure, ils seraient amenés à contribuer davantage à la vie du clan, notamment pour la nourriture qui ne se matérialisait pas comme par magie, les aliens passant leur temps à aller et venir, ramenant toutes sortes de choses.
Bien que tout soit comme à l’ordinaire, ou du moins ce qui était leur nouveau quotidien jusqu’à nouvel ordre, Joël demeura sur les nerfs.
Il ne pouvait s’empêcher de se demander ce qui allait se passer, maintenant que Aarp savait. Il voulait d’autres baisers comme celui de ce matin, et même davantage, mais en même temps, il était plein de doutes.
Pouvait-il s’autoriser à embrasser l’alien en public ? Sans doute que non, dans la mesure où cela l’excitait trop, mais est-ce qu’Aarp s’y attendait ? Miranda, Emilie et Lilou le faisaient et cela ne paraissait pas gêner leurs compagnons aliens, mais comment savoir ce qu’il en était vraiment ?
Finalement, vint l’heure de se coucher, tout le monde regagna les hauteurs et Joël se retrouva en tête-à-tête avec son alien.
— Allons à l’eau. Tu te baigneras, je te protégerai, déclara Aarp.
La prudence aurait sûrement voulu d’attendre davantage pour être sûr que tout le clan soit endormi, mais Joël s’empressa d’accepter.
Ils s’y rendirent en silence.
Bien qu’extrêmement conscient de la présence de l’alien turquoise à deux pas de lui, Joël se déshabilla.
— Tiens, du savon, dit Aarp en lui tendant une boule grumeleuse récupérée entre deux rochers sur la berge.
— Merci, dit Joël, plein de reconnaissance. Enfin, il allait pouvoir être vraiment propre !
Aarp, fidèle à ce qu’il avait dit, se mit à surveiller les alentours.
D’un côté, c’était rassurant, de l’autre, c’était presque décevant que la nudité de Joël ne l’intéresse pas plus que ça.
Joël se savonna, puis récupéra ses vêtements abandonner sur la berge pour les laver également.
Vu la température, ils sécheraient vite, pour ne pas dire instantanément. En tout les cas, Joël n’aurait pas à les porter longtemps mouillés.
Quand il fut rhabillé, aucune bête monstrueuse n’avait pointé le bout de son affreux museau, et ils repartirent comme ils étaient venus.
Une fois dans le logis de Aarp, avant que Joël n’ait le temps de tenter de converser avec lui, des gémissements de plaisir en provenance de la cabane d’à côté retentirent.
Bonjour l’embarras.
Joël supposait qu’une fois que leur maîtrise de la langue des Turquoises serait meilleure, ils seraient amenés à contribuer davantage à la vie du clan, notamment pour la nourriture qui ne se matérialisait pas comme par magie, les aliens passant leur temps à aller et venir, ramenant toutes sortes de choses.
Bien que tout soit comme à l’ordinaire, ou du moins ce qui était leur nouveau quotidien jusqu’à nouvel ordre, Joël demeura sur les nerfs.
Il ne pouvait s’empêcher de se demander ce qui allait se passer, maintenant que Aarp savait. Il voulait d’autres baisers comme celui de ce matin, et même davantage, mais en même temps, il était plein de doutes.
Pouvait-il s’autoriser à embrasser l’alien en public ? Sans doute que non, dans la mesure où cela l’excitait trop, mais est-ce qu’Aarp s’y attendait ? Miranda, Emilie et Lilou le faisaient et cela ne paraissait pas gêner leurs compagnons aliens, mais comment savoir ce qu’il en était vraiment ?
Finalement, vint l’heure de se coucher, tout le monde regagna les hauteurs et Joël se retrouva en tête-à-tête avec son alien.
— Allons à l’eau. Tu te baigneras, je te protégerai, déclara Aarp.
La prudence aurait sûrement voulu d’attendre davantage pour être sûr que tout le clan soit endormi, mais Joël s’empressa d’accepter.
Ils s’y rendirent en silence.
Bien qu’extrêmement conscient de la présence de l’alien turquoise à deux pas de lui, Joël se déshabilla.
— Tiens, du savon, dit Aarp en lui tendant une boule grumeleuse récupérée entre deux rochers sur la berge.
— Merci, dit Joël, plein de reconnaissance. Enfin, il allait pouvoir être vraiment propre !
Aarp, fidèle à ce qu’il avait dit, se mit à surveiller les alentours.
D’un côté, c’était rassurant, de l’autre, c’était presque décevant que la nudité de Joël ne l’intéresse pas plus que ça.
Joël se savonna, puis récupéra ses vêtements abandonner sur la berge pour les laver également.
Vu la température, ils sécheraient vite, pour ne pas dire instantanément. En tout les cas, Joël n’aurait pas à les porter longtemps mouillés.
Quand il fut rhabillé, aucune bête monstrueuse n’avait pointé le bout de son affreux museau, et ils repartirent comme ils étaient venus.
Une fois dans le logis de Aarp, avant que Joël n’ait le temps de tenter de converser avec lui, des gémissements de plaisir en provenance de la cabane d’à côté retentirent.
Bonjour l’embarras.
2 commentaires:
J'espère qu'ils n'ont pas été espionné.
Pour les bruits d'à côté ce n'est de l'embarras que si vous décidez de ne pas faire pareil. ^-^
Merci pour cet épisode.
Héhé ! Je vois le tour que tu aimerais que les choses prennent... ;op
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