Cyan fut surpris quand Gulrik s’effondra, l’entraînant dans sa chute et l’écrasant de tout son poids.
Il avait peine à comprendre comment ils en étaient arrivés là. Le manque de sommeil n’aidait pas.
Il avait marché toute la nuit sans oser se poser nulle part.
Il avait cru halluciner quand Gulrik était apparu devant lui, mais non, le prince des orcs l’avait bel et bien pourchassé pour lui demander des explications sur son départ précipité.
Cyan n’avait pu se résoudre à lui donner, il avait trop honte pour cela. Chaque fois qu’il repensait à Vaknor, l’humiliation et le dégoût l’envahissaient.
Évidemment, Gulrik avait insisté pour savoir, alors Cyan avait essayé de raconté, mais cela avait été au-delà de ses forces.
Gulrik n’avait pas mis sa parole en doute quand Cyan avait accusé Vaknor et cela lui avait fait plaisir. Cependant, quand l’orc avait suggéré qu’ils rentrent, Cyan n’avait pu accepté. Même si Vaknor était puni, rien ne garantissait que la situation ne se reproduirait pas. Pas nécessairement pour des faveurs sexuelles, mais parce que Cyan était humain et que ce fait seul déplaisait à la plupart des orcs.
Avoir été ramené par le prince ne suffisait pas à garantir la protection de Cyan. Vaknor l’avait prouvé. C’était même en quelque sorte posséder la faveur de Gulrik qui avait eu cette pénible conséquence.
Gulrik l’avait surpris en lui offrant le couteau provenant de Manchor. Mais ce qui l’avait vraiment étonné, c’était le baiser. Les lèvres de Gulrik sur les siennes, sa langue râpeuse fouillant sa bouche avait vidé la tête de Cyan. Il avait eu la sensation de s’envoler et pas seulement de façon figurée quand Gulrik l’avait soulevé de terre.
Entre deux baisers, l’orc lui avait encore demandé de revenir avec lui à la forteresse et Cyan avait cédé. La manière dont Gulrik l’avait embrassé sachant ce que Cyan avait laissé Vaknor faire, lui avait semblé revêtir une signification particulière. Sans aller jusqu’à s’imaginer que l’orc l’aimait, impossible de ne pas y voir une marque d’affection. Ce n’était pas qu’une question de satisfaire leurs désirs sexuels…
Maintenant Gulrik était blessé et avait perdu conscience, et ce n’était plus le moment de songer à tout cela.
Il avait peine à comprendre comment ils en étaient arrivés là. Le manque de sommeil n’aidait pas.
Il avait marché toute la nuit sans oser se poser nulle part.
Il avait cru halluciner quand Gulrik était apparu devant lui, mais non, le prince des orcs l’avait bel et bien pourchassé pour lui demander des explications sur son départ précipité.
Cyan n’avait pu se résoudre à lui donner, il avait trop honte pour cela. Chaque fois qu’il repensait à Vaknor, l’humiliation et le dégoût l’envahissaient.
Évidemment, Gulrik avait insisté pour savoir, alors Cyan avait essayé de raconté, mais cela avait été au-delà de ses forces.
Gulrik n’avait pas mis sa parole en doute quand Cyan avait accusé Vaknor et cela lui avait fait plaisir. Cependant, quand l’orc avait suggéré qu’ils rentrent, Cyan n’avait pu accepté. Même si Vaknor était puni, rien ne garantissait que la situation ne se reproduirait pas. Pas nécessairement pour des faveurs sexuelles, mais parce que Cyan était humain et que ce fait seul déplaisait à la plupart des orcs.
Avoir été ramené par le prince ne suffisait pas à garantir la protection de Cyan. Vaknor l’avait prouvé. C’était même en quelque sorte posséder la faveur de Gulrik qui avait eu cette pénible conséquence.
Gulrik l’avait surpris en lui offrant le couteau provenant de Manchor. Mais ce qui l’avait vraiment étonné, c’était le baiser. Les lèvres de Gulrik sur les siennes, sa langue râpeuse fouillant sa bouche avait vidé la tête de Cyan. Il avait eu la sensation de s’envoler et pas seulement de façon figurée quand Gulrik l’avait soulevé de terre.
Entre deux baisers, l’orc lui avait encore demandé de revenir avec lui à la forteresse et Cyan avait cédé. La manière dont Gulrik l’avait embrassé sachant ce que Cyan avait laissé Vaknor faire, lui avait semblé revêtir une signification particulière. Sans aller jusqu’à s’imaginer que l’orc l’aimait, impossible de ne pas y voir une marque d’affection. Ce n’était pas qu’une question de satisfaire leurs désirs sexuels…
Maintenant Gulrik était blessé et avait perdu conscience, et ce n’était plus le moment de songer à tout cela.
2 commentaires:
Merci pour cet épisode transitoire car en ayant vu l'évanouissement de Gulrik hier nous passons aujourd'hui au point de vue de Cyan :)
Je suis curieuse et impatiente de voir ce que Cyan va faire pour protéger Gulrik car même avec ses maigres forces je suis sûre qu'il le fera ^__^
Le suspens est à son comble, hâte de savoir qui les a attaqués et surtout vivement la suite ^o^
Désolée ça doit être un peu frustrant que cela n'avance pas le schmilblick... Mais promis, demain, ça va progresser !
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