Satisfaire les envies de tout le monde tenait du domaine de l’impossible, et face à l’impatience et l’énervement généralisé, Saag peinait à se faire entendre et Coom ne parvenait à ramener le calme, ce qui était inhabituel.
Aarp émit à son tour des sifflements stridents répétés, en écho à ceux du chef du village, sa main toujours posée dans le cou de Joël.
Dans le silence qui se fit enfin, il prit la parole :
— Le clan d’Aaveen ne peut tous nous accueillir. Où dormirions nous ? Que mangerions-nous ? L’accompagner peut être utile pour connaître leur emplacement, mais ce n’est même pas nécessaire. Aaveen parlera de nous aux siens et guidera jusqu’à nous ceux et celles qui voudraient nous rejoindre.
— Tu crois savoir mieux que le chef et le sage ? l’interpella Cuueil. Tu n’es qu’un arpenteur du désert.
Joël avait fini par comprendre que le nom des aliens avaient un sens profond qui reflétaient leur position ou du moins, leurs prédispositions. Ceci dit, Cuueil semblait plus doué pour semer la discorde que pour la cueillette !
— C’est en tant que tel que je sais que voyager dans les sables n’est pas pour tout le monde, répliqua Aarp, sans se laisser démonter.
— Je cherchais à vous expliquer ses choses, mais personne ne voulait m’écouter, enchérit Saag.
— Il n’a fait qu’appuyer mon autorité, déclara Coom.
— Quand il a libéré Jo aussi ? rétorqua Cuueil.
C’était un coup bas que de ramener ainsi le problème à eux.
— Aarp a été puni. Le passé est derrière nous, répliqua Coom.
Cela aurait été bien si cela avait vraiment été le cas. Cuueil aurait arrêté de leur chercher des noises. Plus personne n’en aurait encore voulu à Joël d’avoir gardé le secret sur son véritable sexe.
— Dans ce cas, mon avenir est avec le clan d’Aaveen. Rien ne me retient ici ! s’écria Cuueil.
Joël jeta un coup d’œil inquiet à Chloé que l’alien s’était efforcé de séduire jusque là, sans que cela l’empêche d’ailleurs de leur faire du chantage et de le solliciter.
La jeune femme ne paraissait heureusement pas contrariée. Elle n’avait à priori jamais vraiment été intéressée.
— Moi aussi, dit un autre des Turquoises.
A cela, Clémence émit une vive protestation. Comme l’avait fait remarquer Sarah, la jeune fille n’avait pas été si hostile qu’elle avait bien voulu le dire à se lier à un alien.
Le ton monta à nouveau. Au moins, Joël et Aarp n’étaient plus sous les feux des projecteurs.
Aarp émit à son tour des sifflements stridents répétés, en écho à ceux du chef du village, sa main toujours posée dans le cou de Joël.
Dans le silence qui se fit enfin, il prit la parole :
— Le clan d’Aaveen ne peut tous nous accueillir. Où dormirions nous ? Que mangerions-nous ? L’accompagner peut être utile pour connaître leur emplacement, mais ce n’est même pas nécessaire. Aaveen parlera de nous aux siens et guidera jusqu’à nous ceux et celles qui voudraient nous rejoindre.
— Tu crois savoir mieux que le chef et le sage ? l’interpella Cuueil. Tu n’es qu’un arpenteur du désert.
Joël avait fini par comprendre que le nom des aliens avaient un sens profond qui reflétaient leur position ou du moins, leurs prédispositions. Ceci dit, Cuueil semblait plus doué pour semer la discorde que pour la cueillette !
— C’est en tant que tel que je sais que voyager dans les sables n’est pas pour tout le monde, répliqua Aarp, sans se laisser démonter.
— Je cherchais à vous expliquer ses choses, mais personne ne voulait m’écouter, enchérit Saag.
— Il n’a fait qu’appuyer mon autorité, déclara Coom.
— Quand il a libéré Jo aussi ? rétorqua Cuueil.
C’était un coup bas que de ramener ainsi le problème à eux.
— Aarp a été puni. Le passé est derrière nous, répliqua Coom.
Cela aurait été bien si cela avait vraiment été le cas. Cuueil aurait arrêté de leur chercher des noises. Plus personne n’en aurait encore voulu à Joël d’avoir gardé le secret sur son véritable sexe.
— Dans ce cas, mon avenir est avec le clan d’Aaveen. Rien ne me retient ici ! s’écria Cuueil.
Joël jeta un coup d’œil inquiet à Chloé que l’alien s’était efforcé de séduire jusque là, sans que cela l’empêche d’ailleurs de leur faire du chantage et de le solliciter.
La jeune femme ne paraissait heureusement pas contrariée. Elle n’avait à priori jamais vraiment été intéressée.
— Moi aussi, dit un autre des Turquoises.
A cela, Clémence émit une vive protestation. Comme l’avait fait remarquer Sarah, la jeune fille n’avait pas été si hostile qu’elle avait bien voulu le dire à se lier à un alien.
Le ton monta à nouveau. Au moins, Joël et Aarp n’étaient plus sous les feux des projecteurs.
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