Une des femmes du groupe intervint :
— Il a peut-être ouvert par mégarde un passage secret. Il paraît qu’il y en a dans la bibliothèque.
Enfin, une information utile.
Gulrik se mit à vider les meubles de leurs livres, puis à tapoter le fond de leurs parois afin de voir si cela sonnait creux.
Certains humains s’indignèrent face au désordre qu’il créait et l’un d’entre eux revint avec deux gardes qui intimèrent à Gulrik de se calmer.
Il les ignora, se contenta de les repousser quand ils cherchèrent à l’empoigner et continua à flanquer furieusement les livres par terre. Il se moquait bien de les endommager. Cyan avait disparu. Son humain était en danger.
Plus de gardes déboulèrent. A eux tous, quand ils eurent réussi à se coordonner, ils parvinrent à bloquer Gulrik qui pesta.
Roknok apparut fort heureusement. La rumeur que l’ambassadeur orc devenu fou mettait à sac la grande bibliothèque avait dû parvenir jusqu’à lui. Ou peut-être essayait-il de les retrouver depuis tout à l’heure.
Grâce à lui, Gulrik put échapper aux gardes et reprendre sa recherche du passage secret par lequel Cyan avait dû être emmené.
Il commençait à craindre s’être lancé sur une mauvaise piste quand enfin, un meuble pivota, dévoilant un passage.
Derrière lui, les humains s’agitaient et parlaient, mais Gulrik ne s’en souciait pas. Roknok assurait ses arrières, lui permettant de rester focalisé sur Cyan.
Il avança à grandes enjambées dans l’obscur tunnel en dépit de son oppressante étroitesse jusqu’à ce qu’il arrive à une bifurcation.
La moisissure recouvrant les murs mettant hors jeu son odorat, il tendit l’oreille et chercha des yeux des traces de passage dans l’une, puis l’autre branche.
En l’absence de signe concluant, il se fia à son instinct – quelque chose l’attirait vers la gauche.
Face à un second embranchement, il procéda de la même manière.
A chaque minute qui passait, sa colère et son inquiétude augmentaient. Cet incident n’aurait pas dû se produire. Il aurait dû se méfier davantage. Que ferait-il s’il ne parvenait pas à rattraper ceux qui avaient enlevé Cyan ? Il ne connaissait ni leurs noms ni leurs visages. Les humains se ressemblaient tous, leurs habillements comme leurs parfums masquant leurs odeurs naturelles.
— Il a peut-être ouvert par mégarde un passage secret. Il paraît qu’il y en a dans la bibliothèque.
Enfin, une information utile.
Gulrik se mit à vider les meubles de leurs livres, puis à tapoter le fond de leurs parois afin de voir si cela sonnait creux.
Certains humains s’indignèrent face au désordre qu’il créait et l’un d’entre eux revint avec deux gardes qui intimèrent à Gulrik de se calmer.
Il les ignora, se contenta de les repousser quand ils cherchèrent à l’empoigner et continua à flanquer furieusement les livres par terre. Il se moquait bien de les endommager. Cyan avait disparu. Son humain était en danger.
Plus de gardes déboulèrent. A eux tous, quand ils eurent réussi à se coordonner, ils parvinrent à bloquer Gulrik qui pesta.
Roknok apparut fort heureusement. La rumeur que l’ambassadeur orc devenu fou mettait à sac la grande bibliothèque avait dû parvenir jusqu’à lui. Ou peut-être essayait-il de les retrouver depuis tout à l’heure.
Grâce à lui, Gulrik put échapper aux gardes et reprendre sa recherche du passage secret par lequel Cyan avait dû être emmené.
Il commençait à craindre s’être lancé sur une mauvaise piste quand enfin, un meuble pivota, dévoilant un passage.
Derrière lui, les humains s’agitaient et parlaient, mais Gulrik ne s’en souciait pas. Roknok assurait ses arrières, lui permettant de rester focalisé sur Cyan.
Il avança à grandes enjambées dans l’obscur tunnel en dépit de son oppressante étroitesse jusqu’à ce qu’il arrive à une bifurcation.
La moisissure recouvrant les murs mettant hors jeu son odorat, il tendit l’oreille et chercha des yeux des traces de passage dans l’une, puis l’autre branche.
En l’absence de signe concluant, il se fia à son instinct – quelque chose l’attirait vers la gauche.
Face à un second embranchement, il procéda de la même manière.
A chaque minute qui passait, sa colère et son inquiétude augmentaient. Cet incident n’aurait pas dû se produire. Il aurait dû se méfier davantage. Que ferait-il s’il ne parvenait pas à rattraper ceux qui avaient enlevé Cyan ? Il ne connaissait ni leurs noms ni leurs visages. Les humains se ressemblaient tous, leurs habillements comme leurs parfums masquant leurs odeurs naturelles.
1 commentaire:
Hé bien manquerait plus que Gulrik déboule dans les appartement du roi avec ce passage secret ^o^
Merci pour l'épisode, j'espère que Gulrik retrouvera vite Cyan et qu'il soit sain et sauf :) Je suis contente qu'on revoit Roknok et j'ai hâte de pouvoir lire son histoire prochainement ^___^
Vivement la suite XD
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