Quand Merwan émergea, Tom était penché au-dessus de Anouchka et la reluquait. Allait-il s'en prendre à elle de nouveau ? N'allait-il pas se rendre compte qu'il s'était comporté la veille comme le dernier des salauds ?
— Comment va ? demanda Tom comme s'il ne l'avait pas tabassé et violé la veille.
Cela désarçonna Merwan. C'était après ses actes barbares qu'il faisait preuve d'une vague politesse...! Il en resta muet d'étonnement. Hélas, son silence ne fut pas du goût de Tom.
— Réponds quand on te parle, lavette ! tonna-t-il, en faisant un pas dans sa direction.
Merwan se crispa dans l'attente d'un coup qui ne vint pas.
— Tu as de la chance que ce ne soit pas encore ouvert, pédale ! Je préfère quand il y a des spectateurs.
— Mais t'es malade ! s'exclama Merwan, sidéré.
— Peut-être. En même temps, il faut bien s'occuper dans ce trou et causer comme une gonzesse toute la sainte journée, très peu pour moi ! répliqua tranquillement Tom.
— Mais pourquoi tu fais ça ? Pourquoi ?
— Pourquoi ? Pourquoi ? Mais t'es un perroquet, ma parole ! Et puis d'abord, tu causes trop ! Même quand je te baise, t'arrêtes pas de gémir.
Ses reproches étaient incohérents. Merwan frissonna, essayant de ne pas se souvenir de Tom allant et venant en lui. Penser qu'il allait recommencer à l'ouverture du zoo lui donnait envie de vomir.
Trop tôt, la sonnerie retentit, trop vite un flot d'aliens aux apparences étranges emplirent les allées et entourèrent leur cage. Il lui sembla qu'il y en avait plus que d'habitude et une part de lui-même, horrifié, se demanda si c'était parce qu'ils avaient aimés le « spectacle » de la veille qu'ils étaient revenus aussi nombreux.
Tom qui s'était tenu au peu près tranquille jusque là, fondit sur Anouchka comme un rapace sur sa proie.
— Ne la touche pas ! s'exclama Merwan.
Il ne pouvait pas le laisser la violer sous ses yeux sans rien faire. Il se serait rendu complice de son crime. Non, vraiment, cela aurait était ignoble de sa part, même en sachant ce qu'il risquait.
Tom, sans lâcher les poignets d'Anouchka dont le regard était complètement éteint, se tourna vers Merwan avec un mauvais sourire :
— Jaloux ? Je préfère les nibards, tu sais. Allez, c'est d'accord, mais à une condition, que tu te mettes à genoux, que tu me lèches la bite et après que tu te mettes à quatre pattes, que t'écartes les fesses et que tu me supplies de te l'enfoncer bien profonde. C'est une faveur que je te fais que de m'occuper de ton trou du cul.
Comme Merwan hésitait, le cœur au bord des lèvres, incapable de se décider entre deux options affreuses, Tom se mit à pétrir les seins d'Anouchka qui ne chercha pas à se soustraire à son tortionnaire. Elle semblait attendre que cela passe.
Merwan détourna le regard. Les aliens étaient là, derrière les barreaux. Il avait la désagréable impression qu'ils le jugeaient. Dans la foule, il aperçut une tête blanche triangulaire. Pieuvre ? Ou bien un autre extraterrestre de la même espèce ? Avait-ce seulement de l'importance? Aucun de ses appels au secours n'auraient d'échos. Personne ne les comprendrait, sauf Tom qui risquait de s'en amuser.
— Comment va ? demanda Tom comme s'il ne l'avait pas tabassé et violé la veille.
Cela désarçonna Merwan. C'était après ses actes barbares qu'il faisait preuve d'une vague politesse...! Il en resta muet d'étonnement. Hélas, son silence ne fut pas du goût de Tom.
— Réponds quand on te parle, lavette ! tonna-t-il, en faisant un pas dans sa direction.
Merwan se crispa dans l'attente d'un coup qui ne vint pas.
— Tu as de la chance que ce ne soit pas encore ouvert, pédale ! Je préfère quand il y a des spectateurs.
— Mais t'es malade ! s'exclama Merwan, sidéré.
— Peut-être. En même temps, il faut bien s'occuper dans ce trou et causer comme une gonzesse toute la sainte journée, très peu pour moi ! répliqua tranquillement Tom.
— Mais pourquoi tu fais ça ? Pourquoi ?
— Pourquoi ? Pourquoi ? Mais t'es un perroquet, ma parole ! Et puis d'abord, tu causes trop ! Même quand je te baise, t'arrêtes pas de gémir.
Ses reproches étaient incohérents. Merwan frissonna, essayant de ne pas se souvenir de Tom allant et venant en lui. Penser qu'il allait recommencer à l'ouverture du zoo lui donnait envie de vomir.
Trop tôt, la sonnerie retentit, trop vite un flot d'aliens aux apparences étranges emplirent les allées et entourèrent leur cage. Il lui sembla qu'il y en avait plus que d'habitude et une part de lui-même, horrifié, se demanda si c'était parce qu'ils avaient aimés le « spectacle » de la veille qu'ils étaient revenus aussi nombreux.
Tom qui s'était tenu au peu près tranquille jusque là, fondit sur Anouchka comme un rapace sur sa proie.
— Ne la touche pas ! s'exclama Merwan.
Il ne pouvait pas le laisser la violer sous ses yeux sans rien faire. Il se serait rendu complice de son crime. Non, vraiment, cela aurait était ignoble de sa part, même en sachant ce qu'il risquait.
Tom, sans lâcher les poignets d'Anouchka dont le regard était complètement éteint, se tourna vers Merwan avec un mauvais sourire :
— Jaloux ? Je préfère les nibards, tu sais. Allez, c'est d'accord, mais à une condition, que tu te mettes à genoux, que tu me lèches la bite et après que tu te mettes à quatre pattes, que t'écartes les fesses et que tu me supplies de te l'enfoncer bien profonde. C'est une faveur que je te fais que de m'occuper de ton trou du cul.
Comme Merwan hésitait, le cœur au bord des lèvres, incapable de se décider entre deux options affreuses, Tom se mit à pétrir les seins d'Anouchka qui ne chercha pas à se soustraire à son tortionnaire. Elle semblait attendre que cela passe.
Merwan détourna le regard. Les aliens étaient là, derrière les barreaux. Il avait la désagréable impression qu'ils le jugeaient. Dans la foule, il aperçut une tête blanche triangulaire. Pieuvre ? Ou bien un autre extraterrestre de la même espèce ? Avait-ce seulement de l'importance? Aucun de ses appels au secours n'auraient d'échos. Personne ne les comprendrait, sauf Tom qui risquait de s'en amuser.