En attendant le retour de Rurk et l’arrivée du noble Gaston de Jupilchet, ils bâillonnèrent les humains qu’ils avaient fait prisonniers, las d’entendre leurs plaintes, menaces et insultes.
Au bout du compte, Gaston de Julpichet, un vieux noble bedonnant, débarqua juste avant Rurk, accompagné – chose imprévue – par dix gardes, si bien qu’il n’y eut pas le temps de le questionner.
Cette fois, Adam le sixième les reçut dans la salle du trône.
Les humains furent tous libérés, au grand énervement de Gulrik, mais tous obligés de demeurer devant leur roi.
— Quelqu’un aurait la bonté de m’expliquer ce qu’il s’est passé ? demanda Adam le sixième.
Une cacophonie de mensonges retentit.
— Silence, ordonna Adam le sixième.
Les humains finirent par se taire.
— Parlez, prince.
S’il avait été un banal ambassadeur orc, Gulrik n’était pas certain que le roi des humains aurait pris la peine d’écouter sa version des faits.
Gulrik exposa les faits, avec quelques interruptions des humains présents.
— Vous auriez dû nous informer pour cette affaire d’archer ! s’indigna le fils aîné.
— Mon fils a raison, c’eût été la moindre des courtoisies, déclara Adam le sixième.
— Bastien du Picton a menti, je ne le connais même pas ! s’exclama Gaston du Pilchet, sans sembler se rendre compte que son empressement à se dédouaner l’incriminait davantage.
— Qu’avez-vous à dire pour votre défense, monsieur du Picton ?
— Rien, votre majesté, si ce n’est que j’ai jamais été qu’un instrument suivant les ordre de du Pilchet et que je ne suis guère surpris qu’il nie son implication.
Adam le sixième abandonna le barbu pour soumettre le vieux bedonnant à un feu roulant de questions.
Il était irritant que le roi des humains se soucie davantage du tort causé à Gulrik que du mal fait à Cyan. S’il avait su que ce dernier avait toutes les chances d’être son fils, Adam le sixième aurait sûrement agi différemment.
Rurk avait en effet commencé à réunir des éléments confirmant le soupçon de Gulrik qui n’avait pas encore trouvé le bon moment pour en discuter avec Cyan.
Au bout du compte, Gaston de Julpichet, un vieux noble bedonnant, débarqua juste avant Rurk, accompagné – chose imprévue – par dix gardes, si bien qu’il n’y eut pas le temps de le questionner.
Cette fois, Adam le sixième les reçut dans la salle du trône.
Les humains furent tous libérés, au grand énervement de Gulrik, mais tous obligés de demeurer devant leur roi.
— Quelqu’un aurait la bonté de m’expliquer ce qu’il s’est passé ? demanda Adam le sixième.
Une cacophonie de mensonges retentit.
— Silence, ordonna Adam le sixième.
Les humains finirent par se taire.
— Parlez, prince.
S’il avait été un banal ambassadeur orc, Gulrik n’était pas certain que le roi des humains aurait pris la peine d’écouter sa version des faits.
Gulrik exposa les faits, avec quelques interruptions des humains présents.
— Vous auriez dû nous informer pour cette affaire d’archer ! s’indigna le fils aîné.
— Mon fils a raison, c’eût été la moindre des courtoisies, déclara Adam le sixième.
— Bastien du Picton a menti, je ne le connais même pas ! s’exclama Gaston du Pilchet, sans sembler se rendre compte que son empressement à se dédouaner l’incriminait davantage.
— Qu’avez-vous à dire pour votre défense, monsieur du Picton ?
— Rien, votre majesté, si ce n’est que j’ai jamais été qu’un instrument suivant les ordre de du Pilchet et que je ne suis guère surpris qu’il nie son implication.
Adam le sixième abandonna le barbu pour soumettre le vieux bedonnant à un feu roulant de questions.
Il était irritant que le roi des humains se soucie davantage du tort causé à Gulrik que du mal fait à Cyan. S’il avait su que ce dernier avait toutes les chances d’être son fils, Adam le sixième aurait sûrement agi différemment.
Rurk avait en effet commencé à réunir des éléments confirmant le soupçon de Gulrik qui n’avait pas encore trouvé le bon moment pour en discuter avec Cyan.