— C’est rare que tu hésites quand il s’agit de faire l’amour… reprit Jaro. Tu couves peut-être quelque chose, ajouta-t-il.
Adam opina.
Il se sentait bel et bien malade. Il n’avait certes pas prévu de sauter d’une réalité alternative à l’autre et d’avoir un troisième petit ami.
— Ne t’inquiète pas, nous allons passer une petite soirée tranquille, poursuivit Jaro.
Adam n’avait aucune idée de en quoi cela constituait pour le professeur de sport. Tout ce qu’il savait, c’est qu’il n’assisterait qu’à une partie avant de se retrouver dans la chambre de Xavier, dans sa réalité où monsieur Vahatu était juste son professeur, Ivan, son voisin et Valentin, son ex petit ami.
— Tu es assez en forme pour me tenir compagnie dans la cuisine pendant que je prépare le dîner ou tu préfères t’allonger ?
Adam ne méritait certes pas autant de sollicitude et s’il était passé à côté de l’opportunité de coucher avec Jaro, il n’avait aucune envie de rater celle de bavarder avec lui.
— Je peux même aider, offrit-il.
— Une autre fois. Repose-toi donc.
Adam n’eut plus qu’à s’asseoir sur une chaise et regarder Jaro s’activer aux fourneaux. Il semblait s’y connaître autant en cuisine qu’en sport.
— Rien à raconter, Adam ?
Il avait surtout peur de dire des bêtises. Il n’avait jamais mis les pieds à l’université, pas encore en tout cas. Il n’avait jamais eu non plus de véritable conversation avec Monsieur Vahatu. Jaro.
— Rien de spécial, non… Et v...toi ?
— C’était une journée ordinaire. Aucun élève n’a traîné à la fin du cours dans les vestiaires pour me faire de déclaration enflammée.
Oh. Oh.
A priori, c’était ce qu’Adam avait osé. Il s’empourpra.
Jaro continua, racontant comment il avait failli devoir emmener un élève à l’infirmerie, mais qu’au final, cela n’avait pas été nécessaire.
C’était étrange, mais sympathique d’écouter le professeur livrer différentes anecdotes de ce qui s’était passé au lycée, pas juste des consignes ou conseils qu’il donnait en cours, c’était un peu comme voir l’envers du décor.
— Sinon, tu es toujours motivé pour aller au musée de la préhistoire ce week-end ?
— Oui, répondit Adam, presque déçu de se dire qu’il ne pourrait y aller pour de vrai.
C’était sa période historique préférée et le genre de sorties qu’il aimait et à priori, Jaro aussi, à moins que ce ne soit pour lui faire plaisir...
Adam opina.
Il se sentait bel et bien malade. Il n’avait certes pas prévu de sauter d’une réalité alternative à l’autre et d’avoir un troisième petit ami.
— Ne t’inquiète pas, nous allons passer une petite soirée tranquille, poursuivit Jaro.
Adam n’avait aucune idée de en quoi cela constituait pour le professeur de sport. Tout ce qu’il savait, c’est qu’il n’assisterait qu’à une partie avant de se retrouver dans la chambre de Xavier, dans sa réalité où monsieur Vahatu était juste son professeur, Ivan, son voisin et Valentin, son ex petit ami.
— Tu es assez en forme pour me tenir compagnie dans la cuisine pendant que je prépare le dîner ou tu préfères t’allonger ?
Adam ne méritait certes pas autant de sollicitude et s’il était passé à côté de l’opportunité de coucher avec Jaro, il n’avait aucune envie de rater celle de bavarder avec lui.
— Je peux même aider, offrit-il.
— Une autre fois. Repose-toi donc.
Adam n’eut plus qu’à s’asseoir sur une chaise et regarder Jaro s’activer aux fourneaux. Il semblait s’y connaître autant en cuisine qu’en sport.
— Rien à raconter, Adam ?
Il avait surtout peur de dire des bêtises. Il n’avait jamais mis les pieds à l’université, pas encore en tout cas. Il n’avait jamais eu non plus de véritable conversation avec Monsieur Vahatu. Jaro.
— Rien de spécial, non… Et v...toi ?
— C’était une journée ordinaire. Aucun élève n’a traîné à la fin du cours dans les vestiaires pour me faire de déclaration enflammée.
Oh. Oh.
A priori, c’était ce qu’Adam avait osé. Il s’empourpra.
Jaro continua, racontant comment il avait failli devoir emmener un élève à l’infirmerie, mais qu’au final, cela n’avait pas été nécessaire.
C’était étrange, mais sympathique d’écouter le professeur livrer différentes anecdotes de ce qui s’était passé au lycée, pas juste des consignes ou conseils qu’il donnait en cours, c’était un peu comme voir l’envers du décor.
— Sinon, tu es toujours motivé pour aller au musée de la préhistoire ce week-end ?
— Oui, répondit Adam, presque déçu de se dire qu’il ne pourrait y aller pour de vrai.
C’était sa période historique préférée et le genre de sorties qu’il aimait et à priori, Jaro aussi, à moins que ce ne soit pour lui faire plaisir...
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