Adam se rappelait de l’adresse de Valentin, aussi n’eut-il pas de mal à s’y rendre. Il tergiversa cependant longtemps devant le portail avant de presser le bouton de la sonnette.
Ce fut Valentin qui lui ouvrit, affichant une mine étonnée.
— Que fais-tu là ? Tu n’as pas changé depuis le lycée...
Adam ne pouvait en dire autant de Valentin qui avait légèrement forci et teint ses cheveux en rouge vif. C’était perturbant, mais c’était une autre réalité, une qui se situait quelques années plus tard par rapport à la sienne, une dans laquelle Valentin n’était plus son petit ami.
— Je voudrais voir ton frère.
— Comment le connais-tu ?
La question désarçonna Adam.
— C’est toi qui me l’as présenté…
— Certainement pas… Mais bon, c’est à lui de décider s’il veut recevoir ou non, répondit Valentin, en le faisant entrer.
Adam, bien qu’il ne comprenne pas comment Valentin avait pu oublier l’avoir introduit auprès de Xavier, fut content de ne pas avoir à insister.
Il se sentit toutefois bien bête quand Xavier, installé dans son fauteuil roulant à son bureau, parut ne pas le reconnaître.
— Qui est-ce ?
— Un ancien camarade de classe qui prétend être pote avec toi, ce qui est faux de toute évidence, mais je te laisse démêler ça ! J’ai un rendez-vous, répondit Valentin.
Cheveux rouge ou pas, ce Valentin était tout aussi nonchalant et abrupt que celui que fréquentait Adam.
Au fond, cela l’arrangeait plutôt qu’il s’en aille. La situation était déjà bien assez compliquée comme ça.
— Ton pouvoir, balbutia-t-il, dès que Valentin fut parti.
— De quoi parles-tu ?
Adam déglutit. Toute l’affaire était un vrai sac de nœuds et il ne savait pas comment naviguer dans cette réalité-là, pas sans savoir comment il avait réussi à convaincre Ivan de sortir avec lui…
— Tu m’as dit que tu me montrerais ce qui était possible.
Xavier passa la main dans ses cheveux blonds qui était plus longs que dans le souvenir d’Adam.
— Ah… Je crois comprendre maintenant.
Tant mieux, s’il saisissait un truc au schmilblick parce qu’Adam était au bord de la noyade.
Ce fut Valentin qui lui ouvrit, affichant une mine étonnée.
— Que fais-tu là ? Tu n’as pas changé depuis le lycée...
Adam ne pouvait en dire autant de Valentin qui avait légèrement forci et teint ses cheveux en rouge vif. C’était perturbant, mais c’était une autre réalité, une qui se situait quelques années plus tard par rapport à la sienne, une dans laquelle Valentin n’était plus son petit ami.
— Je voudrais voir ton frère.
— Comment le connais-tu ?
La question désarçonna Adam.
— C’est toi qui me l’as présenté…
— Certainement pas… Mais bon, c’est à lui de décider s’il veut recevoir ou non, répondit Valentin, en le faisant entrer.
Adam, bien qu’il ne comprenne pas comment Valentin avait pu oublier l’avoir introduit auprès de Xavier, fut content de ne pas avoir à insister.
Il se sentit toutefois bien bête quand Xavier, installé dans son fauteuil roulant à son bureau, parut ne pas le reconnaître.
— Qui est-ce ?
— Un ancien camarade de classe qui prétend être pote avec toi, ce qui est faux de toute évidence, mais je te laisse démêler ça ! J’ai un rendez-vous, répondit Valentin.
Cheveux rouge ou pas, ce Valentin était tout aussi nonchalant et abrupt que celui que fréquentait Adam.
Au fond, cela l’arrangeait plutôt qu’il s’en aille. La situation était déjà bien assez compliquée comme ça.
— Ton pouvoir, balbutia-t-il, dès que Valentin fut parti.
— De quoi parles-tu ?
Adam déglutit. Toute l’affaire était un vrai sac de nœuds et il ne savait pas comment naviguer dans cette réalité-là, pas sans savoir comment il avait réussi à convaincre Ivan de sortir avec lui…
— Tu m’as dit que tu me montrerais ce qui était possible.
Xavier passa la main dans ses cheveux blonds qui était plus longs que dans le souvenir d’Adam.
— Ah… Je crois comprendre maintenant.
Tant mieux, s’il saisissait un truc au schmilblick parce qu’Adam était au bord de la noyade.
1 commentaire:
Il croit peut-être juste qu'il est fou.
Merci pour cette suite. ^^
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